La recherche

La FFRD est fière de consacrer plus de 80% de ses dépenses à la recherche et est heureuse de pouvoir soutenir une recherche de qualité en diabétologie francophone, depuis plus d’une décennie.

Les projets de recherche fondamentale financés par la FFRD ont abordé les grandes thématiques relatives à la fois au diabète de type 1 et au diabète de type 2, comme :

  • La protection et le remplacement de la cellule B pancréatique,
  • Les mécanismes moléculaires contribuant à l’insulinorésistance,
  • Les implications d’autres organes clés : le foie, le tissu adipeux, l’intestin,
  • La contribution du microbiote aux maladies métaboliques.

Les projets de recherche clinique, quant à eux, ont abordé les thématiques relatives au diabète de type 1 et au diabète de type 2, mais également au diabète gestationnel. Ils concernent de grandes études cliniques multicentriques de cohorte et leurs études sont davantage mécanistiques et/ou interventionnelles.

Plusieurs des projets financés par la FFRD ont plus particulièrement étudié :

  • Le rôle de l’intestin et du microbiote
  • Le rôle de l’épigénétique

Les projets de recherche soutenus par la FFRD sont complémentaires des projets menés par la SFD. Il s’agit de projets de grande envergure et de dimension internationale, qui répondent principalement à 5 critères : originalité scientifique, faisabilité, adéquation financière, pertinence scientifique du projet et compétitivité internationale.

APPEL À PROJETS

La FFRD a finalisé l’attribution de ses Allocations de Recherche pour 2024.

Le conseil scientifique de la FFRD s’est réuni le 15 octobre pour une journée d’auditions et après délibération, il a le plaisir de vous informer que cette année 2 candidats sont lauréats d’une Allocation de Recherche FFRD 2024, à hauteur de 300.000€ chacun, soit un total de 600.000€ distribués !

Les 6 candidats qui ont été sélectionnés le 7 octobre pour cette présentation orale devant le conseil scientifique étaient :
  • Aurore CLAUDE-TAUPIN
  • Alfonso GALDERISI
  • Pierre GOURDY
  • Jean-Baptiste JULLA
  • Kristina SCHOONJAN
  • Sylvaine YOU

Les 2 lauréats des Allocations de Recherche FFRD 2024 sont :

  • Alfonso GALDERISI, MCU-PH, Hôpital Robert Debré, Paris, pour son projet de recherche clinique : « Verapamil dans les diabètes de type 1 préclinique : l’étude VIP-1 »,
  • Pierre GOURDY, CHU, Hôpital Rangueil, Toulouse, pour son projet de recherche translationnelle : « Caractérisation de la dysfonctionnement du tissu adipeux associée à l’obésité dans le diabète de type 1 : vers une meilleure prédiction du risque cardiovasculaire ».

La FFRD tient à les féliciter !

Ils auront l’occasion de présenter leurs projets de recherche respectifs lors de notre webconférence de presse annuelle, qui se tiendra au premier trimestre 2025 (date à confirmer).

Ce sera également l’occasion pour la FFRD de faire un point sur plus d’une décennie de soutien à la recherche sur le diabète en Francophonie !

En avant-première : nouveauté pour l’appel à projets 2025…

Étant très sensible à l’intérêt que les candidats portent à la FFRD et conscient qu’ils souhaitent améliorer leur candidature pour des soumissions ultérieures, le conseil scientifique a validé une modification importante pour le prochain appel à projets FFRD qui sera, comme chaque année, ouvert mi-février.

En 2025, il sera demandé aux experts interrogés avis/conseils/critiques… à transmettre à tous les candidats !

Retrouvez toutes nos actualités et nouveautés en navigant sur notre site internet et suivez-nous sur LinkedIn également.

Soumettre un projet

APPEL A PROJETS 2024 CLÔTURE !

Rendez-vous l’année prochaine en février pour un nouvel appel à projets !

Les lauréats

Cette année, deux candidats sont lauréats des Allocations de Recherche FFRD 2024 :

Allocation de Recherche Translationnelle
Pierre GOURDY
Pierre GOURDY

Institut des Maladies Métaboliques et Cardiovasculaires, Inserm, CHU de Toulouse

Projet :

Caractériser la dysfonction du tissu adipeux associée à l’obésité dans le Diabète de Type 1 : vers une meilleure prédiction du risque cardiovasculaire

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Alfonso GALDERISI
Alfonso GALDERISI

Hôpital Robert Debré, Université Paris Cité

Projet :

Vérapamil aux stades précliniques du diabète de type 1 : l’étude VIP-1

300 000 €

Les lauréats de la FFRD

Voici les anciens lauréats de la FFRD :

2023

Allocation de Recherche Fondamentale
Soraya TALEB
Soraya TALEB

PARCC, INSERM, Hôpital G. Pompidou, Paris

Projet :

Exploration et modulation de l’immunité entraînée dans la résistance à l’insuline liée à l’obésité

200 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Olivier BOURRON
Olivier BOURRON

INSERM, Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris

Projet :

Impact de la metformine sur les calcifications artérielles périphériques et coronaires dans le diabète de type 1

200 000 €

Allocation de Recherche Translationnelle
Mikaël CROYAL
Mikaël CROYAL

INSERM, Institut du Thorax, Nantes

Projet :

Glycation des apolipoprotéines dans le diabète et impact sur les maladies cardiovasculaires

200 000 €

2022

Allocation de Recherche Fondamentale
Soazig LE LAY
Soazig LE LAY

Inserm, Institut du Thorax de Nantes (France)

Projet :

« Les vésicules extra cellulaires enrichies en adiponectine : une approche biothérapeutique innovante pour le traitement du diabète ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Jacques BELTRAND
Jacques BELTRAND

Hôpital Necker Enfants Malades de Paris (France)

Projet :

« Étude des effets d’un contrôle glycémique strict sur les fonctions cognitives de l’enfant avec diabète de type 1 : comparaison boucle ouverte et boucle fermée ».

300 000 €

2021

Allocation de Recherche Fondamentale
Mariana IGOILLO-ESTEVE
Mariana IGOILLO-ESTEVE

Université Libre de Bruxelles (Belgique)

Projet :

« Etude de l’impact de la fragmentation des ARNt et la diminution en la méthylation m6A induite par une carence en TRMT10A sur pathogenèse du diabète de type 1 ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Étienne LARGER
Étienne LARGER

ARDRM, Hôpital Cochin, Paris

Projet :

Diabète de type 1 avec un seul auto-anticorps : est-ce (toujours) une maladie auto-immune ?

300 000 €

2020

Allocation de Recherche Clinique
Rémi RABASA-LHORET
Rémi RABASA-LHORET

Institut de Recherche Clinique de Montréal – IRCM (Canada)

Projet :

« Relation entre la dysglycémie et l’évolution clinique en fibrose kystique : une étude prospective avec la surveillance en continu de la glycémie ».

300 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
Julien DIANA
Julien DIANA

Directeur de Recherche, Inserm de Paris (France)

Projet :

« Remodelage du microbiote intestinal à l’aide des peptides antimicrobiens pour prévenir le diabète de type 1 ».

300 000 €

2019

Allocation de Recherche Translationnelle
Xavier PRIEUR
Xavier PRIEUR

Université de Nantes (France)

Projet :

« La déficience en Seipine comme modèle de dysfonctionnement adipocytaire extrême ».

150 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
Miriam CNOP
Miriam CNOP

Centre de Recherche en Diabétologie – ULB à Bruxelles (Belgique)

Projet :

« Modélisation du stress du réticulum endoplasmique et du diabète à l’aide de cellules bêta humaines dérivées des cellules souches ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Kamel MOHAMMEDI
Kamel MOHAMMEDI

Faculté de médecine – Hôpital universitaire de Bordeaux (France)

Projet :

« Déterminants pronostiques du pied diabétique : Etude de cohorte prospective française multicentrique ».

300 000 €

Allocation de Recherche Translationnelle
Guillaume WALTHER
Guillaume WALTHER

Laboratoire Cardiovasculaire – Université d’Avignon (France)

Projet :

« Les édulcorants sont-ils bons pour la santé ? Mieux comprendre les effets sur le métabolisme du glucose et la fonction vasculaire ».

150 000 €

2018

Allocation de Recherche Translationnelle
Hubert VIDAL
Hubert VIDAL

Inserm, Inra, Université de Lyon (France)

Projet :

« PROBIODIAB: Probiotics as a new treatment for type 2 diabetes ». (video)

300 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
Fabienne FOUFELLE
Fabienne FOUFELLE

Centre de Recherche des Cordeliers de Paris (France)

Projet :

« Dihydrocéramides : de nouveaux acteurs impliqués dans les stéatopathies métaboliques et la progression du diabète de type 2 ». (vidéo)

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Agnès LEHUEN
Agnès LEHUEN

Institut Cochin de Paris (France)

Projet :

« Interactions entre les cellules MAIT, la muqueuse et le microbiote intestinal au cours du développement du diabète de type 1 ». (vidéo)

300 000 €

2017

Allocation de Recherche Fondamentale
Raphael SCHARFMANN
Raphael SCHARFMANN

Directeur de Recherche Inserm de Paris (France)

Projet :

« Une reconstruction de l’organogénèse du pancréas foetal humain ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Philippe FROGUEL
Philippe FROGUEL

CHRU de Lille (France)

Projet :

« L’impact épigénétique du diabète gestationnel sur le risque de diabète de type 2 de la mère et sur la santé de l’enfant : une approche intégrative ».

300 000 €

2016

Allocation de Recherche Translationnelle
Nicolas VENTECLEF
Nicolas VENTECLEF

Inserm UMR_S1138, Centre de Recherche des Cordeliers de Paris (France)

Projet :

« Décodage d’une signature épigénétique impliquée dans la susceptibilité à développer un diabète de type 2 ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Emmanuel COSSON
Emmanuel COSSON

Hôpital Jean Verdier de Bondy (France)

Projet :

« Réduction de l’insulino-requérance sous myoinositol dans le diabète gestationnel : une étude multicentrique prospective randomisée contrôlée versus placebo (MYO-GDM study) ».

300 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
David DOMBROWICZ
David DOMBROWICZ

Inserm, Institut Pasteur de Lille (France)

Projet :

« Régulation spécifique du diabète de type 2 par le récepteur nucléaire ROR ».

300 000 €

2015

Allocation de Recherche Fondamentale
Roberto MALLONE
Roberto MALLONE

Inserm, Institut Cochin à Paris (France)

Projet :

« La vaccination orale à l’aide de la préproinsuline couplée au Fc pour l’immunothérapie du diabète de type 1 ».

200 000 €

Allocation de Recherche Clinique
François PATTOU
François PATTOU

Hôpital Universitaire à Lille (France)

Projet :

« Rôle de l’intestin dans la rémission du diabète de type 2 après une chirurgie bariatrique de By-Pass ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Eugène SOBNGWI
Eugène SOBNGWI

Hôpital Central de Yaoundé (Cameroun)

Projet :

« Comprendre la pathophysiologie de la comorbidité des maladies infectieuses et du diabète : l’étude CINDIA ».

150 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
Daniela COTA
Daniela COTA

Inserm, NeuroCentre Magendie à Bordeaux (France)

Projet :

« Le récepteur membranaire des acides biliaires TGR5 hypothalamique : un nouveau mécanisme pour le rôle des acides biliaires dans le contrôle métabolique ».

150 000 €

2014

Allocation de Recherche Translationnelle
Rémy BURCELIN
Rémy BURCELIN

Inserm, Hôpital Rangueil de Toulouse (France)

Projet :

« Caractérisation du système immunitaire mucosal intestinal chez les patients avec obésité abdominal et diabétique de type 2 : rôle causal du microbiote correspondant »

300 000 €

Allocation de Recherche Fondamentale
Hélène DUEZ
Hélène DUEZ

Inserm, Institut Pasteur de Lille (France)

Projet :

« Rôle du récepteur nucléaire Rev-erb-alpha dans le développement du diabète de type 2 : implication du tissu adipeux et du muscle squelettique ».

300 000 €

2013

Allocation de Recherche Fondamentale
Romano REGAZZI
Romano REGAZZI

DNF, Université de Lausanne (Suisse)

Projet :

« Rôle des longs ARN non-codants et des ARN circulaires dans la détermination du phénotype de la cellule Bêta et le développement du diabète ».

300 000 €

Allocation de Recherche Clinique
Blandine COMTE
Blandine COMTE

INRA, Unité de Nutrition Humaine du Centre de Recherche de Clermont-Ferrand (France)

Projet :

« Apport des signatures métaboliques dans la prédiction du syndrome métabolique : étude de cas-témoins nichée dans la cohorte Haguenau ».

300 000 €

Ils parlent de la FFRD

Les lauréats soutenus par la FFRD en parlent…

Jacques BELTRAND

Professeur en Diabétologie Pédiatrique, Institut Necker Enfants Malades, Paris

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Étude des effets d’un contrôle glycémique strict sur les fonctions cognitives de l’enfant avec un diabète de type 1 débutant

Des données d’imagerie cérébrale ont alerté sur l’impact que peut avoir la variabilité glycémique sur le développement de la substance grise et de la substance blanche cérébrale de l’enfant. En effet, si l’alternance d’hypo et d’hyperglycémies n’impacte pas le développement psychomoteur et intellectuel de l’enfant, une grande variabilité glycémique pourrait impacter l’acquisition de fonctions cérébrales très spécifiques. Les nouveaux systèmes automatisés de délivrance de l’insuline permettent de diminuer cette variabilité. Chez l’adolescent, une étude a montré qu’ils pouvaient corriger l’impact neuropsychologique de la variabilité glycémique. Leur utilisation, dès le début de la maladie chez les enfants, pourrait donc prévenir ce retard de croissance cérébrale. L’étude que nous menons en Île-de-France a pour but de déterminer quelle est la meilleure modalité de traitement dans les mois qui suivent le diagnostic afin que la croissance cérébrale soit comparable à celle d’enfants non atteints de diabète de type 1. Les participants de l’étude seront traités dans les semaines qui suivent le diagnostic par  pompe et capteur de glycémie ou par les nouveaux systèmes de délivrance automatisée de l’insuline. Une IRM cérébrale sera réalisée chez les patients à l’inclusion et après 18 mois de traitement et chez des enfants du même âge, mais sans diabète. Cette étude, qui est la première étude pédiatrique soutenue par la FFRD, apportera des informations importantes quant au meilleur parcours de soins chez l’enfant dans les mois qui suivent le diagnostic.

Rémi RABASA-LHORET

MD, PhD, Directeur de recherche, Institut de Recherches Cliniques de Montréal (ICRM)

Rabasa-Lhoret-Rémi

Identifier les dysglycémies chez les patients atteints de fibrose kystique (mucoviscidose) avec la lecture en continu de la glycémie

Les patients atteints de fibrose kystique présentent un large spectre de dysglycémies qui est associé au risque de déclin clinique accéléré (perte de poids et/ou de fonction pulmonaire) et au risque de diabète associé à la fibrose kystique (DAFK). Cependant, le test de dépistage actuel, hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO), est associé à de multiples problèmes : acceptation par les patients et les équipes de soins, coûts, etc. Le soutien de la FFRD nous permettra de mener une étude pour établir si la lecture en continu de la glycémie permet de simplifier le dépistage du DAFK et aussi de prédire si les patients sont plus à risque de perte de poids et/ou de fonction pulmonaire. Ces résultats permettront de mieux répondre aux questions sur l’utilisation et l’interprétation de la lecture en continu de la glycémie dans la pratique clinique.

Soazig LE LAY

INSERM, l’Institut du Thorax de Nantes

Les vésicules extracellulaires enrichies en adiponectine : une approche biothérapeutique innovante pour le traitement du diabète

L’adiponectine (Adpn), une adipokine insulinosensible, représente une cible prometteuse pour traiter les complications cardiométaboliques du diabète de type 2 (DT2). Cependant, la production de médicaments mimant l’Adpn a été entravée par les difficultés à obtenir sa forme active oligomérisée (conversion de monomères en oligomères). Nos recherches sur les vésicules extracellulaires (VEs) dérivées du tissu adipeux ont montré qu’elles sont naturellement enrichies en Adpn active. Ces vésicules assurent une biodisponibilité accrue et une stabilité prolongée de l’adiponectine (Adpn) dans la circulation, tout en conservant ses propriétés insulinosensibles. Grâce au soutien de la FFRD, nous étudierons l’utilisation des vésicules extracellulaire (VEs) enrichies en adiponectine (Adpn) comme « taxis moléculaires » pour délivrer des formes actives de cette adipokine et restaurer la sensibilité à l’insuline. Ce projet pave la voie à l’utilisation des vésicules extracellulaires (VEs) comme biothérapies pour mieux comprendre et traiter les complications du diabète de type 2.

Mariana IGOILLO-ESTEVE

Université Libre de Bruxelles, UCDR, Belgique

Étude de la contribution d’une déficience en la protéine TRMT10A et des petits ARNs non-codants à la pathogenèse du diabète de type 1

Le diabète de type 1 (DT1) est une maladie auto-immune qui cible les cellules bêta du pancréas. Son apparition résulte d’une interaction complexe entre des facteurs génétiques, immunologiques et environnementaux, notamment les infections par des entérovirus. Les personnes atteintes de DT1 dépendent d’une insulinothérapie à vie et sont exposées à un risque accru de complications. À ce jour, il n’existe aucun traitement permettant de guérir ou de prévenir le développement du DT1.

Dans nos recherches précédentes, nous avons démontré que des mutations entraînant une perte de fonction de la protéine TRMT10A sont responsables d’un diabète juvénile, associé à une microcéphalie, et que l’absence de TRMT10A provoque la mort des cellules bêta pancréatiques qui s’explique, en partie, par une augmentation en la quantité de certains petits ARNs non-codants dans la cellule. Nous savons désormais que les infections à entérovirus réduisent également les niveaux de TRMT10A. Grâce au précieux soutien de la FFRD nous avons pu établir divers modèles cellulaires humains de DT1 et de déficience en TRMT10A qui vont nous permettre d’évaluer dans quelle mesure la diminution en TRMT10A et la production des petits ARNs non-codants contribuent au développement du DT1, et de décrypter les mécanismes menant à la destruction des cellules bêta. Ces travaux pourraient ouvrir la voie à de nouvelles approches thérapeutiques pour cette maladie.